Au début de cours de la Jurisprudence dans la Grande Mosquée de Qom, le Grand Ayatollah Makârim Chirâzî souligna un hadith moral concernant les liens d’amitié disant : On doit prêter attention à la conduite des Saints Imams (que la paix soit sur Eux) dans ces affaires et devrait faire ce qu’ils font.
En disant cette question que nos opposants sont composés de trois groupes, il stipula : Le premier groupe est composé de Nâçebites qui sont ennemies des Saints Imams (que la paix soit sur Eux) et nous sommes leur hostiles, bien entendu les membres de ce groupe sont en petite quantité. Le deuxième groupe est composé des hostiles de Chiites parmi lesquels un groupe des Wahhabites qui sont en désaccord avec les Chiites. Le troisième groupe n’est pas chiite, mais ses membres aiment le chiisme et les Gens de la Maison du Saint Prophète (que le salut de Dieu soit sur Lui et sur sa Famille). On doit prêter attention à cette question que notre conduite n’est pas égal avec ces trois groupes.
Il ajouta : Nous avons une conduite amicale avec ces trois groupes qu’elle a causé parfois leur absorption.
Le Grand Ayatollah Makârim Chirâzî indiqua : Dans les conditions actuelles, nous endurons les membres du deuxième groupe, même lorsque nous allons à la Mecque nous accomplissons notre prière avec eux (en assemblée). L’Imam Khomeiny a souligné cette question.
Le Grand Ayatollah Makârim Chirâzî continua : Dans les conditions et situations actuelles, s’il y a un désaccord dans la nation musulmane, les ennemies utilisent de ses fruits. Et on doit prêter attention à ces affaires dans les cas actuels.
Il ajouta : Cela ne signifie pas le renoncement des fondements de notre doctrine, mais au contraire nous sommes stables sur nos fondements.
Le Grand Ayatollah Makârim Chirâzî fit allusion au soulèvement du peuple de Bahreïn critiquant les paroles de Monsieur Qardhâwï à propos de ce soulèvement et dit : Cette personne a certaines paroles récemment à propos des Chiites de Bahreïn et leur soulèvement qui ne le mérite pas. Il a dit que : Nous ne leur sommes pas attaché et on doit les réprimer.
Il ajouta : Est-ce qu’un savant religieux peut-il dit ce tel mot, cela signifie qu’on doit reconnaître une discrimination entre les musulmans. Monsieur Qardhâwï soutient du soulèvement en Égypte et de la guerre en Lybie, mais il soutient de la dictature à Bahreïn. Est-ce que cette politique et conduite est-elle correcte pour un savant religieux ?
L’Ayatollah Makârim Chirâzî ne connut pas ce soulèvement réservé aux chiites et ajouta : La première condition pour un savant religieux est d’abandonner le fanatisme dont le résultat est pour les sionistes et les ennemies de l’Islam.
Son Eminence stipula : Dans les pays musulmans, comme Liban, les Chiites, les Sunnites et les Chrétiens administrent leur pays ensemble.